David Zwirner is pleased to present an exhibition of new sculptures by the Belgian-born, New York–based artist Harold Ancart at the gallery’s Paris location. This will be the artist’s first solo show in Paris and will mark his third with David Zwirner since joining the gallery in 2018.

This exhibition will feature a new group of sculptures, part of a series of works that the artist began in the summer of 2017. These three-dimensional relief forms are cast in concrete, and painted with rich layers of color that recall art-historical, architectural, and everyday influences.

The pools’ “compositions are fairly simple,” states Ancart. “The ‘basin’ can have any size and take any shape; so can the ‘staircases,’ and the color, well, the color can be anything too.”1 Bearing the traces of their making, the pools share the surface materiality and color of the paintings for which Ancart has become best known. They function, in a sense, as relief paintings that are situated within the three-dimensional space of the viewer, while their painted surfaces offer a range of visual and formal possibilities. 

“The deep end opposes itself to the shallow end,” says Ancart. “One may rightfully argue that these sculptures are shallow. However, these sculptures are painted. Isn’t something painted automatically granted with infinite depth?”2

As Laura McLean-Ferris has written about Ancart’s pool sculptures: “Featuring the bare minimum of detail, a notional basin and a couple steps, the sculpture provides an architecture for the contemplation of paint as pool.… The work transposes painterly concerns into three dimensions.… The concrete pool, a container for pigment, becomes a locus for attention and a container for the eye to swim in.”3 Deliberately ambiguous, the pools present numerous dualities: positive and negative space, form and surface, abstraction and figuration, and, ultimately, sculpture and painting. 

In shrinking the size of a pool, Ancart amplifies its imaginative qualities, making an otherwise familiar object uncanny. While the artist has always seen painting as a means to travel, these works are also experienced as sculpture in the round, at once real and appearing perhaps as in a dream or a projection. They may not fulfill the standard promise of a pool, but “one could still invite their friends to have a drink or a cigarette around it,” as Ancart suggests.4

This is the artist’s first exhibition to focus primarily on his sculptural work. It coincides with the release of Harold Ancart: Traveling Light, an exhibition catalogue for the artist’s 2020 show of the same title at David Zwirner New York, published by David Zwirner Books.

 


Born in Brussels in 1980, Harold Ancart received his MFA at École Nationale Supérieure des Arts Visuels de la Cambre in 2007. He currently lives and works in Brooklyn, New York. 

In 2020, the solo exhibition Harold Ancart: Traveling Light spanned David Zwirner’s 525 and 533 West 19th Street gallery spaces in New York. Also in 2020, Harold Ancart: Pools, an online viewing room of related pool sculptures, was presented by David Zwirner Online. In 2018, David Zwirner exhibited a solo show, titled FREEZE, of new paintings by the artist at its London location.

In 2019 to 2020, Public Art Fund presented Harold Ancart: Subliminal Standard at the Cadman Plaza Park, Brooklyn. Ancart’s work was also featured in a solo exhibition, Harold Ancart: Untitled (there is no there there), at The Menil Collection, Houston, in 2016. The artist has participated in solo and group exhibitions around the world, including at the Stedelijk Museum voor Actuele Kunst (S.M.A.K.), Ghent (2019); Centre Pompidou-Metz, France (2018); Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (2017); Palais de Tokyo, Paris (2013); and WIELS Centre d’Art Contemporain, Brussels (2012).

Works by the artist are included in the permanent collections of numerous institutions worldwide, including the Centre Georges Pompidou, Paris; Fondation Beyeler, Basel; Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Washington, DC; Lenbachhaus, Munich; Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk, Denmark; The Menil Collection, Houston; Musée d’Art Moderne de Paris; The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; Solomon R. Guggenheim Museum, New York; and the Whitney Museum of American Art, New York.

 

For all press enquiries, contact:
Sara Chan +44 20 3538 3165 sara@davidzwirner.com

Image:  Harold Ancart, Untitled, 2021

1Harold Ancart, artist statement, 2018.
2Ancart, in conversation with the gallery, August 2021.
3Laura McLean-Ferris, “Contre-Jour,” in Harold Ancart: Traveling Light. Exh. cat. (New York: David Zwirner Books, 2021), p. 69 (forthcoming).
4Ancart, artist statement, 2018.

 

David Zwirner a le plaisir d’annoncer une exposition de nouvelles sculptures d’Harold Ancart, artiste belge basé à New York, dans les espaces de la galerie à Paris. Il s’agit de la première exposition personnelle de l’artiste à Paris et de sa troisième avec David Zwirner depuis qu’il a rejoint la galerie en 2018.
 
Cette exposition présentera un ensemble inédit de sculptures faisant partie d’une série d’œuvres initiée par l’artiste pendant l’été 2017. Ces formes tridimensionnelles en relief sont coulées dans du béton et recouvertes de couches de peinture faisant référence à l’histoire de l’art, à l’architecture et au quotidien.

Pour Ancart, les piscines sont de « composition assez simple ». « Le bassin peut avoir n’importe quelle taille et prendre n’importe quelle forme ; Il en va de même pour les escaliers. En ce qui concerne la couleur, et bien la couleur peut aussi être n’importe laquelle. »[1] Portant les traces de leur fabrication, les piscines ont la même matérialité de surface et de couleur que les peintures pour lesquelles Ancart s’est fait connaître. Elles fonctionnent, en quelque sorte, comme des peintures en relief situées dans l’espace tridimensionnel du spectateur, tandis que leurs surfaces peintes offrent un éventail de possibilités visuelles et formelles.

« La Grande Profondeur s’oppose à la petite profondeur de la piscine » décrit Ancart. « On peut à juste titre argumenter que ces sculptures sont peu profondes. Cependant, ces sculptures sont peintes. Une chose peinte ne se voit-elle pas automatiquement accorder une profondeur infinie ? » [2]

Comme l’a écrit Laura McLean-Ferris à propos des sculptures-piscines d’Ancart : « En présentant le moins de détails possible, un bassin fictif et quelques marches, la sculpture offre une architecture pour la contemplation de la peinture en tant que piscine.... L’ œuvre sans titre transpose les préoccupations picturales en trois dimensions.... La piscine en béton, un contenant pour le pigment, devient un lieu d’attention et un récipient dans lequel l’œil peut nager. »[3] Délibérément ambiguës, les piscines présentent de nombreuses dualités : espace positif et négatif, forme et surface, abstraction et figuration, et, finalement, sculpture et peinture.

En réduisant la taille d’une piscine, Ancart en amplifie ses qualités imaginatives, rendant étrange un objet habituellement familier. Si l’artiste a toujours considéré la peinture comme un moyen de voyager, ces œuvres sont également vécues comme des sculptures en ronde bosse, à la fois réelles et apparentes, comme dans un rêve ou une projection. Elles ne remplissent peut-être pas la promesse habituelle d’une piscine, mais « on peut toujours inviter des amis à boire un verre ou à fumer une cigarette autour », comme le suggère Ancart[4].

Il s’agit de la première exposition de l’artiste se concentrant principalement sur la dimension sculpturale de son œuvre. L’exposition coïncide avec la publication de Harold Ancart : Traveling Light, le catalogue de l’exposition éponyme de 2020 consacrée à l’artiste à la galerie David Zwirner New York et édité par David Zwirner Books.


Né à Bruxelles en 1980, Harold Ancart est diplômé (MFA) de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de la Cambre en 2007. Il vit et travaille actuellement à Brooklyn, New York.

En 2020, l’exposition personnelle Harold Ancart: Traveling Light a été présentée dans les espaces de la galerie des 525 et 533 West 19th Street à New York. Toujours en 2020, Harold Ancart: Pools, une viewing room en ligne de sculptures de piscines, a été présentée par David Zwirner Online. En 2018, David Zwirner a organisé une exposition personnelle, FREEZE, de nouvelles peintures de l’artiste dans ses espaces de Londres.

En 2019 et 2020, le Public Art Fund a présenté Harold Ancart: Subliminal Standard au Cadman Plaza Park, à Brooklyn. L’œuvre d’Ancart a également fait l’objet d’une exposition personnelle, Harold Ancart: Untitled (there is no there there) à la Menil Collection, à Houston, en 2016. L’artiste a par ailleurs participé à des expositions individuelles et collectives dans le monde entier, notamment au Stedelijk Museum voor Actuele Kunst (S.M.A.K.), Gand (2019) ; au Centre Pompidou-Metz, France (2018) ; au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (2017) ; au Palais de Tokyo, Paris (2013) ; et au WIELS Centre d’Art Contemporain, Bruxelles (2012).

Les œuvres de l’artiste font partie des collections permanentes de nombreuses institutions dans le monde entier dont celles du Centre Georges Pompidou, Paris ; de la Fondation Beyeler, Bâle ; du Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Washington, DC ; du Lenbachhaus, Munich ; du Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk, Danemark ; de la Menil Collection, Houston ; du Musée d’art moderne de Paris ; du Museum of Contemporary Art, Los Angeles ; du Solomon R. Guggenheim Museum, New York ; et du Whitney Museum of American Art, New York.

 

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Image: Harold Ancart, Untitled, 2021

[1] Harold Ancart, citation de l’artiste, 2018.
[2] Ancart, in conversation avec la galerie, août 2021.
[3] Laura McLean-Ferris, “Contre-Jour,” in Harold Ancart: Traveling Light. Catalogue d’exposition (New York: David Zwirner Books, 2021), p. 69 (à paraître).
[4] Ancart, citation de l’artiste, 2018.

 

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